Le but était, ici, de faire un texte avec tous ce que vous avez lu dans le post précédent.
Si je t'invitais, tu viendrais ? Ça m'etonnerais ... Même si je te preparais un bon thé fumé ? Même si je te faisais fumer mon thé ?
Je pourrais t'interpeller par une phrase bien sentie : « Construit toi, protége ta colére de mur chaud bouillant. N'oublie jamais les portes ou les fenetres. Faut que ça soit aérer tout ça. Solide mais aérer. C'est juste pour pas t 'assecher de la tête et devenir con comme une brique. »
Mais ce n'est pas ce que je veux te montrer. Et si je te dévoilais mon coeur, mon âme et mes chaussettes trouées ?
Le resultat serais le même, .. trop cacher, trop montrer, ... Ce que je veux c'est que tu ai envi de deviner. Rien ne sert d'attaquer la vie au tank américain (mais oui, celui qui a un canon qui, si on s'en sert bien, peut tuer trois douzaine de personne en un coup).
Non il faut être une maison, même petite, mais qui donne des envis de visites. Chez moi, j'ai fait la déco de mon monde idéal. Un petit peu de rouge pour la collectivité, un peu de noir pour la colère et un peu de blanc pour la pureté. Cette résidance, je m'en sert mais je la prete à qui la veux. Je sais qu'on y est bien. Elle pourrait peut être devenir un camps d'entrainement ? D'entrainement à quoi ? À nous, peut être ...
Alors, une fois chez moi, je te laisserais chercher, me chercher, tater, tripoter, me tripoter, peut être ? ... Et si je te voie timide, je te guiderais pour me découvrir vraiment, pour avoir envi de m'aimer.
Je te prendrais par la main et te guiderais dans mes malles empoussierée. Avec un souvenir ? Pourquoi pas. C'est un bon début pour me comprendre ... Mon premier souvenir ?... tout y est : la campagne, la ville et les tours autour, tout étirés vers les nuages. C'est tout moi !
Je me souviens, les fesses sur une terres séchée, je me régal de la végétation qui me protége. Il faut que je découvre les coquelicot pour qu'ils deviennent ma fleur préférée. Tout ce que j'aimes : beau, éphémère et fragile. Il ne faut pas y toucher, juste les apprécier, pas les posséder.
Je me souviens de mon sourire rayonnant, comme si la nature était un trésor que l'on venait de m'offrir. Espiègle et souriant, et plus tard j'entendrais « chiant mais pas méchant ». Je me prépare à un remake de la guerre des boutons, sans boutons. Maintenant il y a les fermeture eclaire.
Je me souviens de la lumière sur mes kikers aux points dyssimètriques sous la semelle. Il faut que je conserve le goût des bonheur simple pour aimer la vie.
Je me souviens aussi du beton à quelques encablure. Dur, froid et violent. Celui qui abrite les punkes et les toxicos. Je me souvient du reflets gris des batiment qui ont ternis mon âme.
Je me souviens des loups du quartier qui m'ont tapé dessus : les biens pensants, les mal pensant, à coup de journal, à coup de JP pernot, à coup de conneries
Ça va comme ça ? je léve le voile avec élégance ?
Mais si tu sais ce que tu veux, je te laisserai farfouiller, fourmiller, fureter. Je te preterais mes costumes de corsaire. Mais je te guiderais quand même, sans en avoir l'air, vers les pierre précieuse de ma tête, vers les trésor que seul moi peut déployer pour faire de toi une fée.
Et si tu laissais tomber le blaireau à coté de toi pour t'éblouir de ma beauté ? C'est beau de réver ...
Et si tu relevais le nez de ton café en terrasse, tu me verrais peut être ? C'est pas compliqué ...
Et si je te faisais fantasmer sans même que tu ne le saches ? Ça serait peut être le moment de se bouger ?