Aujourd'hui, jeudi, le sable, que je traine toujours au fond de mes poches depuis que j'habite à Marseille, se vitrifie. C'est insoutenable ! Je dois prendre une douche toutes les trente secondes sous peine de sentir le fennec mort.
Dans cette ambiance d'enfer du feu, je m'étais dis que je pourrais vous pondre un super beau post , à vous tirer les larmes des yeux, sur un quartier de Marseille au nom ridicule (les Crottes) et à la misère indescriptible (un vrai quart monde).
Et pis non … ça veut pas … rien, c'est nul, pourri, à chier …
C'est le cœur un peu gros que je vous narre ma dernière Pierrichardisasion.
Comme je vous l'ai déjà expliqué, quand nous sommes allés à la plage avec Nadère, nous ne nous sommes pas protégés aux pires heures du soleil, un jour de canicule.
Nous avons coup de soleillé. Mais, il y a un endroit où je suis à la limite de la brûlure nécessitant une greffe.
Tout cela est venu du fait que j'ai un vieux maillot de bain tout pourri …
Il est tout pourri, il se détend. Il se détend, il devient plus grand. Au bout de quinze ans, il est carrément trop trop grand. La loi de Newton mes couilles aidant, quand tu sors de l'eau, ça tire vers le bas. Du coup, le bordel y descend. Et y descend, t'as le cul à l'air sans t'en rendre compte ! Endroit, que j'avoue, ne pas laisser au soleil régulièrement (hou, le complexé !!! Mais pas du tout ! Ça n'a rien à voir ! … ).
Conclusion : tu te prends un méga-giga-putaindessarace de coup de soleil sur le cul !
Une fois de plus c'est la souffrance ridicule qui frappe à ma porte. Ma famille se gausse. Même Lilou se fout de ma gueule …
Bonne preuve, ce soir, à 23 heures, je suis, dans ma cuisine, à poil derrière mon PC, attendant que la Biaphine© sèche sur mon derche …
Et le pire c'est que ça fait vraiment mal ...