L'autre miroite (idée de renvoyer lumière avec scintillement – miroire)
Premier texte :
écriture d'un souvenir d'enfance, naissance symbolique, souvenir de se mettre au monde.
Recueillir de l'inachevé, osé se mettre au monde
auto fiction « je » du narrateur > pas de pact de vérité avec le lecteur.
Je en relation avec un tu qui défini narrateur
il ne faut pas – il faut – je me souvient : répétition
Je me souvient d'un champs en jachère. Mon premier souvenir ... tout y est : la campagne, la ville et les tours autour, toutes étirées vers les nuages. Il faut que ce petit moment annodin existe
pour que tu vives.
Tu n'es pas là et pourtant je te construit.
Je me souviens, les fesses sur une terres séchée, je me régal de la végétation qui me protége. Il faut que je découvre les coquelicot pour qu'ils deviennent ta fleur préférée. Tout ce que tu
aimes : beau, éphémère et fragile. Il ne faut pas y toucher, juste les apprécier, pas les posséder.
Je me souviens de mon sourire rayonnant, comme si la nature était un trésor que l'on venait de m'offrir. Espiègle et souriant, et toi plus tard tu entends « chiant mais pas méchant ».
Je te prépare un remake de la guerre des boutons, sans boutons. Maintenant il y a les fermeture eclaire.
Mais il ne faut pas oublié le beton à quelques encablure. Dur, foid et violent. Celui qui abrite les punkes et les toxicos. Je me souvient du reflets gris des batiment qui ont ternis ton âme. Il
ne faut pas que ces monstres de metal et de verres mange ta gentillesse. Il ne faut pas qu'il te mange tout court.
Comme ce petit champs abandonné au milieu de la ville, tu dois resister pour rester beau, plein de coquelicots et de fleur dont tu ne connais toujours pas le nom aujourd'hui.
Pourtant la ville viends frapper à ta porte, tu ne peux qu'y aller : la culture, l'amour et le reste.
Je me souviens de la lumière sur mes kikers aux points dyssimètrique sous la semelle. Il faut que je conserve le goût de ces bonheur simple pour que tu puisses aimer la vie.
deuxième texte :
Suite à la lecture de mon texte, les auditeurs devaient choisir un mot pour mon texte. Résultat :
Resistance – ascenseur – inégal – terrain vague – coq et coquelicot – moulougi– brindille ensoleillé – tour - aimer la vie
Le but, trouver un mot qui colle avec un de la liste.
Possibilité d'un néologisme : deux mots qui n'en font qu'un. Succession de fragments courts ou chaque fragment eclairera les mots associé.
Mots choisis : Résistance / résidance.
C'est en toi que dois se construire ta résistance. C'est une résidance aux fondement pueril (je veux mon hochet !), aux mur porteur politique (je veux de la solidarité) et à la peinture extérieur
agressive pour être vu (je veux une augmentation). Tous les loups du quartier vont taper dessus : les biens pensants, les mal pensant, à coup de journal, à coup de JP pernot, à coup de conneries
(j'aurais pas dit deux fois la même chose ?). Comme un petit cochon dans sa maison de résistance, tu les entends souffler ... La résidance resistera ? Resistera pas ? ....
Résister comme une maison, résider comme un maçon. Construit toi, protége ta colére de mur chaud bouillant. N'oublie jamais les portes ou les fenetres. Faut que ça soit aérer tout ça. Solide mais
aérer.C'est juste pour pas t 'assecher de la tête et devenir con comme une brique. Résister dans la maison de sa tête c'est bien, mais il faut accepter les nouvelles technologie
artchitectural qui construise les têtes de demain. Sinon on n'est plus resistant, on est ancian combattant.
Rien ne sert d'attaquer les injustice de la vie au tank américain (mais oui, celui qui a un canon qui, si on s'en sert bien, peut tuer trois douzaine de personne en un coup). Non il faut mieux
être un refuge, une maison, même petite. On y fait la déco de son monde idéal. Un petit peu de rouge pour le collectivisme, un peu de noir pour la colère et un peu de blanc pour la pureter. Cette
résidance, je m'en sert mais je la prete à qui la veux. Je sais qu'on y est bien. Elle pourrait peut être devenir un camps d'entrainement ?
Troisième texte :
Répétition de : Je te - et si je te – et si
Exprimer : condition, désir et impossibilté
Si je t'invitais, tu viendrais ? Ça m'etonnerais ... Même si je te preparais un bon thé fumé ? Même si je te faisais fumer mon thé ?
Je te fais mon numéro, mais je n'y croie pas trop ... Pour t'aguicher, je te montrerais mes voyages, mes livres, mes films ... Mais ce n'est pas ce que je veux te montrer. Et si je te montrais
mon coeur, mon âme et mes chaussettes trouées ?
Le resultat serais le même, trop cacher, trop montrer, ce que je veux c'est que tu ai envi de deviner.
Alors, une fois chez moi, je te laisserais chercher, me chercher, tater, tripoter, me tripoter, peut être ? ... Et si je te voie timide, je te guiderais pour me découvrir vraiment, pour avoir
envi de m'aimer.
Je te prendrais par la main et te guiderais dans mes malles empoussierer. Je te laisserai farfouiller, fourmiller, fureter. Je te preterais mes costumes de corsaire. Je te guiderais, sans en
avoir l'air, vers les pierre précieuse de ma tête, vers les trésor que seul moi peut déployer pour faire de toi une fée.
Et si tu laissais tomber le blaireau à coté de toi pour t'éblouir de ma beauté ? C'est beau de réver ...
Et si tu relevais le nez de ton café en terrasse, tu me verrais peut être ? C'est pas compliqué ...
Et si je me plantais devant toi : « tu viens poulette ? Je suis là, tu m'attendais ... » ? C'est pas gagné ...
Et si je te faisais rever sans même que tu ne le saches ? Ça serait peut être le moment de se bouger ?