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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 11:02
cassoss' pour une semaine de canceva ... A la bourre ... suis en sueur ... ai chargé la turvoi, y'a plus que charline a chopper à la gare ... A dans une semaine ...

Dezol pour le manque de stylee, mais j'suis mortel à la bourre et en sueur ....

A+!!!
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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 16:06
 
Hier, la belle-deuch' arrive à la maison. Certes, c'est pour emmener les enfants en vacances, histoire que nous ayons des jours (avec ma douce) rien qu'à nous pour nous, ou c'est qu'on fait des trucs que je peux même pas vous dire car ma famille lit régulièrement ce blog, mais je suis un peu tendu.

 

J'arrive pas à savoir si le coté positif de la chose l'emporte sur le négatif, ou inversement. Pour me détendre, je commence à boire de la bière dès le milieu d'après midi – c'est pas que de ma faute, car on a plein de potes qui passe à la maison, alors pour être courtois et déshydratant, on offre un(des?) coup(s?) à boire.

 

Deux trois bédeaux en plus, je suis complètement prêt à la réceptionner … Le repas commence donc dans une tassitude tranquille. Ma moyenne de mots par phrase se situe entre deux et trois.

 

Pourtant, sur le coup des onze heures, je perçois une odeur de chaud, puis au bout de quelques minutes, carrément de brulé.

 

La première idée, qui me perfore le cervelet droit, est : « ça y est j'ai craqué … A force de me retenir pour pas me jeter sur elle avec une hache, j'ai cramé un truc dans ma tête ! ». Je garde cette info pour moi …

 

Quand les convives à tables commencent à s'interroger sur cette étrange odeur, je suis vraiment inquiet : soit je suis un pleine auto-combustion, soit ça vient de l'extérieur. Je rationnalise : c'est pas moi ! ça ne peut pas être moi !

 

Je fais alors comme tout le monde à table : naseau en l'air, j'essaye de définir avec précision l'origine de ce relent de brulé cheulou.

Première découverte, sur laquelle nous sommes tous d'accord et contents, ça ne vient pas de la maison (ouf …).

 

Pour nous rendre plus compte, nous nous rendons sur le palier de l'immeuble : stupeur !

Dans la rue, l'odeur est encore plus prenante et il neige des cendres, toutes fines comme des angles de papiers brulés. Mes fleurs se recouvrent de points gris minuscules.

 

Retour sur le net pour en savoir plus : 1200 hectares viennent de bruler à 5km de chez nous.

 

Nous venons de découvrir les feux de forets en Provence …

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 07:04

 

Bien que ce titre fasse un peu fable à la « Jean de ... », on est pas là pour ça. C'est juste que ces deux qualités me semblent fondamentales, pour s'éviter un taux d'emmerdement maximum quand tu as des enfants.

 

Prévoir ce qui pourrait, potentiellement, te pourrir la vie et, essayer de pousser ce vice jusqu'à l'événement à la probabilité la plus misérable. Pourtant mon ami Murphy (pas Eddy, celui de la loi) vient me rappeler que t'as beau tout faire, quand ça veut pas, ça veut pas …

 

Depuis quelques jours, Lilou commence à manger des purées (faites maison et tout et tout !). Bon, c'est pas encore ça, ni pour elle, ni pour nous. Elle considère que nous essayons de l'empoisonner à heure régulière : « Mais qu'est ce que c'est que cette merde !!! ». Et nous ne nous aidons pas, en n'ayant pas encore recouvré nos habitudes de comment qu'on fait manger un ch'ti n'enfant. Souvent ça fini, elle a rien bouffé et elle prend un bib'.

 

C'est pourquoi aujourd'hui, étant seul, j'entendais la petite se mettre à chouinouiller* sur le coup des onze heures douze, onze heures treize. Immédiatement, c'est à dire avant qu'elle n'ait vraiment faim, je me ruais en cuisine: décongélationnage d'une purée de carotte et d'une à la banane.

 

Anticipant qu'elle puisse mettre du temps à emmmerger, j'emballais chaque petite soucoupe dans un film alimentaire afin de les protéger du pire ennemie de la bouffe à Marseille : la bête qui vole !

 

Je sortais, ensuite, tout le matos pour la bouffe : la chaise bébé high-tech avec wifi incorporé, les soucoupes, les cuillères en plastique, le bavoir en plastique, des serviettes, un karcher et un gourdin … Enfin, presque …

 

Et je me préparais. Je me tapais alors le torse dans ma combinaison hermétique de spationaute en signe de défiance. J'étais prêt à la nourrir ...

 

Au premier gueulement digne de ce nom, je lui sautais dessus et la sanglais dans le bordel. Je déballais la carotte de son petit film et … S'en suivait un combat titanesque à coup de purée, de parade de cuillère, de je ferme la bouche et de je recrache. Je devais trouver des trésors d'inventivité pour lui faire avaler cinq - vraies - cuillères.

 

Elle finissait par re-chouinner, signe qu'il fallait abandonner la carotte. Fière comme pas deux, je me tournais vers ma superbe purée de banane de secours. « Ha ha, on me la fait pas. J'ai de la ressource ! »

 

Mais avant d'enlever le film, je découvrais qu'en le posant j'avais enfermé une mouche dans la purée. Elle était morte (la purée pas la mouche)…

 

Souvent ça fini, elle a rien bouffé et elle prend un bib'.

 

* j'explique pas chouinouiller, je l'ai déjà fait dans un post précédent … Z'avez qu'à suivre !

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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 13:01

C'est la folie, le multimédia entre dans ce blog, comme une épidémie de peste bubonnique sur un pays du tiers monde : à donf !

Bon, je vais pas me la jouer, ça à beau être mon taff, je pourrais vous faire un post rien qu'avec la mise en ligne - pour que ce soit pas trop moche - de la vidéo ... Mais là n'est pas le débat !

En fait, cette vidéo est un teaser d'une partie que j'espère developper. Pourquoi un teaser (j'adore ce mot !) ? Pour faire mon malin ? J'ai le melon ? J'aime bien le mot ?

Non, en fait j'ai un peu raté mon premier essai ... Alors avec les restes, je fais un Teaser : on voit pas trop, c'est un peu pourri, mais ça donne l'ambiance.

Dernière petite précision : les maqueux* sont privés de vidéo (c'est un bug ... Désolé).

Pour tout voir, cliquez , , ici aussi , ou bien !**



* Possesseur de Macintosh
** Cherchez pas ... Tout les liens vont vers la même page, c'était pour déconner

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 14:33
 

 

Un bon gitanisant, pour bien gitaniser, se doit de respecter certains fondamentaux. Il faut développer certaines qualités : la Mac-Guiverisation par conviction et le je-m'en-foutisme par paresse. C'est à dire que vous bricolez tout, mais, comme un enculé parce que vous vous en branlez …

 

Avec ça, si vous êtes bien méticuleux et que vous vous servez bien de ces dons, chaque objet chez vous est pourri et devient potentiellement une arme (contre vous). Le lave vaisselle devient créateur de patinoire car l'évacuation est mal fixée. Le décodeur Orange devient une gégène car il est relié au routeur par un câble de 7 mètres qui traverse le salon, et comme tout le monde se prend les pieds dedans, ça fait des courts-circuits …

 

Certains esthètes poussent, l'amour de la théologie, jusqu'à se pierrichardiser en rendant chaque objet dangereux.

Nous citerons l'exemple de, celui qui est en phase de béatification par l'église de la gitanisation, Nadère, qui s'empale sur les volets en pleine rue ou manque de se trancher un pied, la première fois qu'il touche une hache …

 

Mais revenons au commun des mortel … Vous … Moi.

 

J'ai la joie de vous annoncer la gitanisation d'une nouvelle partie de la maison (et que c'est même pas chiant) : la douche.

 

Tout à commencé car Charline trouvait que le chauffe-eau avait une température pas du tout réglementaire, et que tu te rends pas compte si les petits s'ébouillantent avec des cloques, des brulures au quatorzième degré et la mort au bout ! Alors, on t'as bidouillé le bignou : vazy, un coup à gauche … Non, plus à droite … Allez go !

 

Depuis, le mitigeur n'a plus l'utilité qu'évoque son nom ! Il sert juste à déclencher le chaud OU le froid.

Vous mettez le bordel au milieu en vous disant, par déduction fort logique et effet d'habitude tout pavlovien, que ça sera tiède … Que nenni, mon ami ! L'eau prend la température, plus ou moins rapidement, de la couleur vers laquelle est incliné le manche du mitigeur : bouillant ou glacé !

 

Chaque douche se transforme en torture ponctuée de grands cris quand ça passe du chaud au froid, ou inversement. Vous ressortez ébouillanté/glacé ! Ça pue vite l'incident grave à base d'ambulance et de gaze pour grand brulé.

 

Je vous raconte même pas le taux de tension quand vous donnez la douche au Zéphir. Sautant sur le pommeau comme un cocaïnomane, la main toujours sous le jet pour anticiper la moindre modification de température, vous finissez avec les doigts qui ont triplé de volume.

 

Mon prochain challenge : réparer la gazinière.

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 21:26

J'ouvre un œil, puis l'autre. Malgré la pénombre je reconnais Ma Pièce. Rassurée, je m'étire goulument. Je m'éclaircis la voix et commence à faire quelques flexions de rigueur.

Et soudain, comme un instant de grâce, je redécouvre Mon Ça, mou et rugueux. Nous nous retrouvons dans une joie inégalée.
J'ai, d'un coup, envie de partager cet instant de plaisir avec les Eux. Pour se faire, je perfectionne ma technique d'appeau à Eux : rigide comme un Ça du plus lumineux, je hurle à fond.

Effectivement, au bout de trop longtemps, le Lui arrive dans Ma Pièce. Pas rancunière, je lui rends son sourire, agrémenté de quelques mots réconfortants. J'ai pu le constater, le Lui, a un énorme besoin de communication et de reconnaissance. Il s'exprime tout le temps dans son langage bizarre. Je progresse, mais c'est pas encore très clair.

Tout en baragouinant, il m'emmène dans Ma Pièce 2 . J'aime cette sensation de vol qu'il me procure. Je ne peux retenir ma joie lors des trajets.

Il me colle sur du mou, devant les lumières qui bougent, mais là, elles bougent pas. Le Lui commence à faire son malin pour m'arracher un rire. Je suis pas décidée, aujourd'hui, je me sens plus physique.
Pour plaire à le Lui – parce que je fais ma maline, mais il est trop fort !!!!! - je lui montre tout de go, comment je me la pète en retourné freestyle sur l'épaule. Je comprends dans son dialecte que le Lui est scié !

Mais d'un coup, mon monde vacille, je ne sais par quel miracle, mais je bouge SEULE ! Je tente de récréer un contexte favorable au renouvellement de l'expérience. Je bouge un bout de Moi, puis un autre, puis un autre ... Ça marche pas … Ça commence à me gonfler … Je gueule comme un veau de colère … Le Lui s'inquiète immédiatement de mes problèmes – il est serviable, quand même – même s'il ne peux rien faire, car il ne comprend rien !

Mais aujourd'hui, un problème chasse l'autre. M'énervant contre cette expérience infructueuse, je découvre cet être que j'ai nommé Le Mini-Lui-Doux.
Depuis plusieurs jour, je le croise. À la fois inquiétant et fascinant, il est très différent de les Eux, mais semble vivre avec les Eux.
Il m'a repéré, je ne bouge plus. Que faire ? Hurler ? Non, il peut attaquer ! Me sauver ? Non, je ne me déplace pas ! Me crisper jusqu'à ce qu'il ne me voit plus ? Ouais, pas mal …

Ça marche, il s'en va …

Mais qu'est-ce qu'il m'arrive encore ? Des pointes dans le ventre ! Une douleurs inégalée ! Je hurle ! Et les guignoleries de le Lui n'y feront rien. J'ai mal. J'ai mal !...
Mais je comprends … Toutes ces émotions ont déclenché une crise de REMPLIR !!!!!

Trop lentement, mais bon, il à l'air usé, le Lui m'apporte du Blanc. D'abord, goulue, je défonce tout pendant quelques instants. Puis, ça devient de plus en plus dur … L'essoufflement, l'effort, … Je m'évanouis plusieurs fois pendant le remplissage … Je lutte, je lutte … Mais c'est trop dur...
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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 20:03
 

 

Ce matin, je paye ma C.A.N.* de dimanche soir, sur la Wii : couché quatre heures du mat' avec le foie chargé.

 

Dans un semi-réveil, je regardais ma vie à travers le reflet d'un lac, je suis là et pas là … Je ne voyais que les mauvais côtés de cette misérable existence de sous merde insignifiante. J'en étais triste à faire pleurer du sucre en poudre.

 

En réaction de protection – t'approches pas enculé – je devenais haineux comme une hyène blessée. Je parvenais, pourtant, à communiquer avec ma douce.

 

J'apprenais que, dans notre organisation toute gitanesque, nous avions promis un pique-nique à Zéphir pour dans deux heures et nous avions un frigo à rendre un Somalien prétentieux.

 

HHHHUUUUUUUUU!!!! HHHHUUUUU!!!! ALERTE !! ALERTE !! Il faut faire des courses !

 

T'as raison le 14 juillet, ça pue pas la mission !

 

Je me retrouvais, le temps de dire « kiwi qui cuit », sur le trottoir en direction du Monop', avec une liste de course, longue comme mon bras droit.

 

Moi, qui avais envie de croiser du monde, comme de me faire pendre par les testicules en me faisant fouetter à coup de cactus, je me retrouvais dans la rue où le défilé militaire du 14 passait.

 

Pour me donner du courage, je me disais que je n'avais jamais vu de défilé militaire de ma vie, et cela pouvait être … Cela pouvait être !

 

Je déchantais vite … Une foule agglutinée, suante et joyeuse m'obligeait à un slalom de skieur. Puis, vinrent les premiers vieux, tous liquides, avec quatre décorations en métal sur la veste. Je sais pas trop pourquoi, mais ils me fichaient froid dans le dos …

 

Arrivaient les premiers militaires … Alors, très vite, je me rendais compte que le Famas long comme mon fémur porté par un type au front bas et à l'œil terne :

  • Primo, c'est pas une image d'Épinal

  • Deuzio, c'est vraiment pas ma came.

 

On commençait à toucher Dieu du doigt quand certains balcons applaudirent au passage du défilé. Des vieux re-tous liquides (mais pas les mêmes, d'autres), fleurirent aux coins des rues pour jouer de l'accordéon et de l'orgue de barbarie.

 

Back to the future ! Je m'attendais à découvrir Pétain sur la route dans une décapotable. Je commençais à avoir envie de gerber. Et pis même sur les gens parce qu'ils sont trop cons !

Je me sauvais vers le Monop' pour affronter une queue de connards qui, comme moi, avaient prévu des trucs sans avoir d'autres trucs, qui aident à faire les trucs …

 

Trois heures plus tard, je retournais affronter Marseille des années quarante … Re-envie de gerber. Puis, arrivé à la maison , je découvrais que j 'avais oublié le lait pour la petite …

 

J'effectuais immédiatement une tentative de suicide à la litière pour chat.

 

* Coupe d'Afrique des Nations

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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 19:48

Il y a quelques jours, j'éduquais mes enfants, toujours avec la même politique très stricte : scotcher devant le PC dans la cuisine, en tendant une oreille entre deux brumes canabiques.

Quand soudain, j'ouissais (elle te la coupe celle-là !) mon Zéphir qui gueulait après une Lilou, elle-même gueulante comme un veau, après, on ne sait pas qui, là, pour le compte …

J'arrivais fissa dans le salon et découvrais mon ainé, face au transat contenant sa soeur, la main en l'air contenant un « 7 » rose en mousse d'une bonne vingtaine de centimètre*, prêt à lui lancer dans la tronche, le tout en hurlant : « Mais tu va arrêter de crier ! J'entends pas Foot 2 rue ! Arrêtes ! Mais arrêtes, je te dis !!! ».

Dans un premier temps, j'hésitais à prendre un cliché de cette scène surréaliste. Mais le daron qui est en moi reprenait le dessus : éducation, responsabilité, la non acceptation de la violence, …

Je le coupais par un « Ben alors ? Tu te crois où ? », version « eye of the tiger », avec la voix qui va bien … Il se raidissait immédiatement et tentait de planquer maladroitement ce « 7 » dans son dos.

Il fallait une réponse et vite … Plusieurs idées me sautaient spontanément au cerveau : coup de genou dans la tête en hurlant « PAS BIEN !!!!! »; une discussion interminable sur la vie, la mort et la violence dans tout ça, ma bonne dame …, lui faire avaler le « 7 » avec comme morale « ça t'apprendra »; …

J'optais pour une solution intermédiaire. Je le sermonnais vertement et virilement (J'lai pô touché ! J'vous dis qu'j'l'ai pô touché !!!) en lui parlant de tout ça, la violence, la soeur qu'est petite, lui qu'est grand et que c'est pas bien de taper sur les petits quand on est grand.

Le menton baissé, la bouche en demi lune vers le bas, il me regardait péteux d'en dessous. Il tentait de minimiser son acte : oui, c'est mal ce que j'ai fait, mais c'est pas si grave parce que je l'ai pas fait … C'était juste pour lui faire peur … J'allais pas le faire … Et vazy que j't'embrouille à plein tube.

Moi, con et ému, par cet élan de repentir chez mon fils, je m'agenouillais, la larme à l'œil, pour le prendre dans mes bras, en le nettoyant de cette honte injuste que je lui avais fait subir y'a pas cinq minutes ...

Nous partagions un moment d'une intense sincérité. Ré-ému par ce qui venait de se passer, je re-pleurais à chaudes larmes.

Je décoiffais le petit du plat de la main et le laissait, sautillant, retourner à ses jeux de jeune enfant plein de franchise et de sincérité.

Encore ému, je me retournais vers Lilou, qui, avec tout ce bordel, avait arrêté de pleurer. Et que découvrais-je dans le transat ????

Un « Z » en mousse rouge. Il lui avait déjà balancé des trucs à la gueule ! … AHHH !!! le saligot, à quatre ans il m'a pris pour une truffe !

* Ce « 7 » est un des éléments d'un puzzle de carrés de mousse, où chaque carré contient une lettre ou un chiffre détachable en mousse, avec une couleur qui va pas du tout avec celle du cadre.
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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 10:42

*















Dimanche, c'était journée au parc F.Billoux, avec  belle-soeur, gamins, pic nique, jeux d'eaux et hurlements à gogo ...


En fin de journée, mon Zéph', en recherche d'un deuxième souffle, après avoir parcouru 204 368 km et arrosé 179 autres gosses, se mettait à la photo ...



Puis, après, il se mettait à l'auto-portrait ....



Pas mal pour 4 ans ?

* Cette photo, est la seul de moi

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 20:33
J'ai la tête pleine d'eau depuis plusieurs jours ...Et ce soir, je suis sec  ... Mais sec de sec, éléctro-encéphallogramme plat devant le PC.

Alors, dans la gluance de mes soirées marseillaises, je vous livre le scénar d'une histoire pour enfant qui n'a jamais trouvé d'illustrateur. Je suis pas sur, mais je verrais ça pour des 4 / 6 ans ...

disez-moi ...

Page 1 :

Max, l'explorateur, file dans son vaisseau à la découverte de nouveaux mondes. Il profite du spectacle qui s'offre à lui : soleil de toutes les couleurs et étoiles filantes.

 

Page 2:

Tout à coup, une énorme météorite qu'il n'avait pas vu percute son vaisseau. Une sirène se met à hurler et tout les boutons deviennent rouge sur son tableau de bord.

 

Il va être obligé de se poser s'il ne veut pas avoir un accident.

Page 3 :

 

Traversant le ciel, il atterri brutalement sur une planète inconnue. Max ne s'est, heureusement pas fait mal. Mais son vaisseau est en bien triste état.

 

Page 4 :

Il prend sa trousse de mécanicien et décide de sortir pour réparer.

Il fait très chaud dehors !

 

Il découvre un paysage tout vert : il n'y a que des arbres et des fleurs à partout.

 

Page 5 :

Après plusieurs heures de réparations, il est couvert d'huile et de terre. Vivement le bain !

 

Il décide de faire une petite pause. Il va manger des gâteaux au chocolat pour se donner du courage.


Page 6 :

Il est prêt à se remettre au travail. Mais, il voie au loin quelque chose se rapprocher de lui. Quand il peut enfin le voir, il découvre une bête affreuse : poilue, joufflue et pleine de dent.

 

« Se doit être surement un monstre se dit-il ». Quand la bête se met à crier, il est sur qu'elle lui veut du mal

 

Page 7 :

Elle est maintenant à quelques mètres de lui. Sans réfléchir, Max, prend une poignée de petit cailloux à coté de lui et les jette sur le monstre en se mettant lui aussi à crier. Il est bien décider à chasser ce monstre.

 

Page 8 :

Victoire ! Le monstre s'enfuie !

Fier de lui, Max gonfle le torse. Il s'allonge sous son aile prêt à finir de réparer.

 

Page 9 :

 

Après de longues heures de travail, Max a réparé son vaisseau et il le regarde en souriant :

« bientôt, nous serons de retour à la maison. » et il le tapote affectueusement.

 

Page 10 :

Un énorme « crack » résonne. La petite tape de Max, a déséquilibré le vaisseau. Il glisse vers Max. Il se jette à terre pour éviter le vaisseau.

 

Page 11 :

ouf, il n'est pas blessé. Mais son pantalon est coincé sous l'aile. Il tire de toute ses forces ... Mais rien ne bouge.

Que faire ?

 

Page 12 :

Max crie de toute ses forces : « Au secours ! Si il y a quelqu'un, aidez moi ! » Il recommence : « Au secours! », « A l'aide ! ».

Personne ne réponds ... pas un bruit.

 

Page 13 :

Alors Max se met à pleurer car il ne sait plus quoi faire : « je suis coincé tout seul ici ... snif ... Comment vais-je m'en sortir ? ... snif »

 

Page 14 :

Soudain, une tête apparaît sous l'aile. « Mais ... Mais c'est le monstre ! », s'écrie Max. Il regarde partout espérant trouver une cachette. Mais il n'y a rien.

 

Pendant ce temps le monstre le regarde avec des yeux ronds, étonnés.

 

Page 15 :

Et d'un coup, il attrape l'aile d'une main et la soulevé. Et de l'autre il prend délicatement Max pour le sortir de là. Max n'en croie pas ses yeux.

 

Page 16 :

« Alors vous n'êtes pas un monstre ? », dit timidement Max.

« Maaaaiiiis non ! ... Je m'appelle York. Je suis un explorateur et mon vaisseau c'est écrasé il y a très longtemps », lui répond York.

 

« Je suis très différent de toi, mais je ne suis pas méchant », ajoute York en souriant de toutes ses grandes dents.

 

Page 17 :

« Maintenant que mon vaisseau est réparé, je peut vous emmenez si vous le voulez ? », dit Max. York est très content : « Merci ... Merci beaucoup ...Depuis le temps que j'attends ».

 

Il monte alors tout les deux dans le vaisseau.

 

Page 18 :

Même si le vaisseau était un peu petit pour York, le retour ne fût que rire et amusement.Max et York devenaient les meilleurs amis du monde.

 

Malgré leurs différences physique ils se ressemblaient beaucoup.

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